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Merci pour ces retours chers soldats!
Bravo Benoît pour ce beau CR et pour ce premier 100M!
C’est l’énorme force de Courtney, la capacité à tenir le même rythme ou presque sur 100 miles quand les autres ralentissent beaucoup plus
Apres il y a une différence entre juste couper un virage (gagner 5 ou 10 mètres) et comme le montre certaines captures, c’est carrément un raccourci. Et quand tu commences à gagner 30 secondes, 1 minute quand tu joues la gagne/podium il peut y avoir une vraie incidence. Si on t’annonce que tu perds du temps ou que tu grapilles, ce ne sont plus les mêmes ressorts psychologiques qui jouent pour faire l’effort ou garder son rythme.
Hello JCF,J’ai fait le 48 justement l’an dernier. Pour commencer, l’an dernier, nous avons eu une météo idéale (du soleil et un terrain sec) mais c’est début mars. Tu peux donc avoir de la boue, du gel voire de la neige à cette période.2 ravitaillements, donc bien prévoir niveau flotte ce dont tu as besoin, seulement 2 flasks, ça peut être un peu juste suivant tes estimations de temps de passageEffectivement c’est roulant, dans le sens où tu as de longues portions de plat où c’est pas toujours évident de garder une certaine intensité.Aucune difficulté technique que ce soit sur les plats ou les descentes, c’est vraiment un terrain propice pour un coureur.Les bosses ne sont jamais trop longues, après je pense que le dénivelé cumulé n’est pas à négliger, quasiment 2000 de D+ en cumulé.Venant du massif jurassien, tu ne devrais pas être dépaysé en terme de typologie de terrain. A mon avis placer une séance spécifique par semaine à plat sera vraiment utile mais je ne mettrais pas de côté le travail de dénivelé/côte (sur la 2eme partie, je remontais beaucoup de monde en bosse).Le parcours est vraiment plaisant à travers les puys et avec le passage à Lemptégy. Pour moi, c’est une course et un format parfait pour lancer la saison !
Hello,<p style= »text-align: left; »>J’ai une amie aussi qui avait du mal à s’entraîner seule.</p>Elle est dans le club de Domont qui a une section trail si je me trompe pas.Peut-être une piste à explorer aussi
Merci pour le CR, toujours ds un coin de la tête car à côté de la maison mais jamais fait encore.Idéal après un week-end patreotes à borner et pour finir l’année j’ai l’impressionSûrement l’année prochaine !
Oui justement certains même s’ils sont devant ne sont concentrés que sur leur effort, leurs sensations et ne souhaitent pas se laisser perturber par des éléments extérieurs de toute nature.C’est aussi une stratégie qui fonctionne pour certains. Thevenard avait ses temps par exemple et voulait rester dans son schéma dans ses allures.Brogniart aussi évoquait beaucoup ça, de rester concentré sur soit et de ne pas se faire distraire par les éléments extérieurs. Pour certains et encore plus en ultra, c’est avant tout une bataille contre soi et terminer avec la sensation d’avoir tout donner que l’avance soit d’une minute ou d’une heure.
J’imagine que certains ont un plan, des temps de passage qu’ils se sont fixés et qu’ils souhaitent respecter et donner la meilleure version de soi-même.Il y a aussi des parcours qui restent inchangés, ça permet de s’etalonner au fil des ans.
Bienvenue Antoine !Pour l’anecdote, un de mes premiers trails a été en terre charentaise, le trail des Gorges du Chambon 🙂
C’est une course très sympa à faire, une ambiance un peu sud-ouest si vous faites la pasta ou repas coureur. Convivialité, bonne humeur.Généralement ça se remplit assez vite.Un conseil, prenez votre logement dès que vous êtes inscrits, c’est un village très sympa mais assez paumé, donc peu d’offres de logements.J’étais à 30 minutes du départ en voiture 🙂
Perso j’en ai eu à une période aussi, qq retours pêle-mêle :- je faisais à l’époque régulièrement de l’urban, avec du recul c’est ça qui les a déclenché. Terrain dur, des successions de sprints et changements de direction sur ce terrain tout pour en favoriser leur apparition. Au début je ne savais absolument ce qui marrivait!- de mon côté j’ai aussi fait ondes de chocs – des séances horribles pour 0 résultat- ce qui a fonctionné pour moi, curieusement faire des semelles.- aujourd’hui ce qui est certain dans mon cas, dès que je fais trop de bitume y’a un vrai risque que le périoste commence à nouveau à s’inflammer. Donc je limite autant que possible. Ce qui limite aussi l’inflammation c’est de porter des manchons (c’est d’ailleurs quand tu regardes les études un peu le seul vrai bienfait reconnu car ça limite les vibrations) bon on c’est un retour très subjectif, à l’époque je ne pensais pas pouvoir m’en débarrasser, aujourd’hui c’est pour l’instant qu’un mauvais souvenir. Je n’utilise même plus de semelles. Jte conseillerais autant que possible de limiter tout ce qui bitume et terrain dur, croiser les sports pour ton retour et revenir progressivement
Présent aussi,22 ou 48
Ce qui aurait pu être intéressant cest de servir comme prétexte de suivre MB pour se focaliser que sur la Western States par exemple. C’est un des mythes de l’histoire du trail, tu aurais pu faire un beau focus sur l’histoire, l’ambiance etcIntérieur Sport est souvent beaucoup plus qualitatif que celui-ci qui est très décevant.
Exceptionnel recit Olivier. Content d’avoir pu partager ce week-end avec toi dans le Forez.Merci pour tes mots, ça me touche. Si j’ai pu être le petit coup de pouce qui te permette d’aller au bout, c’est top.Sinon, tu ne le dois qu’à toi, ton expérience et tout ce que t’as mis en place pour livrer cette belle course 🙂 A bientôt!
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